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Les sévices laissent des traces dans l’ADN


Il est de plus en plus reconnu que les abus, qu’ils soient physiques, psychologiques ou sexuels, ont un impact profond et durable sur les personnes qui en sont victimes. Des études ont montré que les abus peuvent entraîner de nombreux troubles de santé mentale et physique, tels que la dépression, l’anxiété, les troubles du sommeil, les problèmes de santé physique et le syndrome de stress post-traumatique (SSPT).

Les abus laissent des séquelles épigénétiques durables selon une étude de l’Unige.

Au centre de recherche Universitaire de Genève, le Dr. Ariane Giacobino a démontré qu’un traumatisme laisse une “cicatrice” dans l’ADN de la victime. Cette cicatrice se transmet jusqu’à 3 générations. D’où l’intérêt de soigner les victimes autant au niveau corporel, émotionnel, mental que spirituel.

L’étude de l’Unige révèle que les abus ont des conséquences génétiques à long terme et pouvant être transmises.
Selon leur étude, les abus peuvent entraîner des modifications épigénétiques (modifications de l’expression génétique) qui ont un impact sur la santé à long terme. Ces modifications peuvent être transmises aux générations suivantes, ce qui signifie que les conséquences des abus peuvent être transmises à la descendance des victimes.

Abus : reconnaître l’impact durable et agir pour protéger les victimes

Il est important de reconnaître l’impact profond et durable des abus et de mettre en place des mesures de soutien et de prévention pour protéger les personnes vulnérables. Si vous avez été victime d’abus, il est recommandé de demander de l’aide à un professionnel de la santé mentale qualifié pour gérer les conséquences et apprendre à vivre avec cette expérience difficile.

 

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