Le code de déontologie des psychopraticiens est un ensemble de règles et de principes éthiques qui régissent les pratiques professionnelles des psychopraticiens. Il vise à protéger les patients en garantissant la confidentialité, la sécurité et l’intégrité des soins psychologiques. Il est également destiné à protéger les professionnels en leur fournissant des orientations claires pour éviter les conflits d’intérêts et les abus de pouvoir.

1. La profession de psychopraticienne certifiée

La profession de psychopraticienne certifiée est une discipline spécifique du domaine des sciences humaines. Elle implique une stratégie globale et explicite de traitement des troubles psychologiques, sociaux et psychosomatiques. Les méthodes utilisées reposent sur des théories scientifiques de psychothérapie. Par le biais d’une interaction entre un ou plusieurs consultant et un ou plusieurs psychopraticiennes, ce traitement a pour objectif de déclencher un processus thérapeutique permettant des changements et une évolution à long terme. La profession de psychopraticienne se caractérise par l’implication du thérapeute dans la réalisation des objectifs précités. Le psychopraticien est tenu d’utiliser sa compétence dans le respect des valeurs et de la dignité de son consultant au mieux des intérêts de ce dernier. Le psychopraticien certifié doit indiquer sa qualification dans la spécialité où il a été formé. 

2. Compétence professionnelle et perfectionnement

Le psychopraticien doit exercer sa profession de manière compétente et dans le respect de l’éthique. Il doit se tenir au courant des recherches et du développement scientifique de la psychothérapie – ce qui implique une formation continue permanente. Le psychopraticien est tenu de ne pratiquer que les méthodes de traitement et dans les domaines de la psychothérapie pour lesquels il peut justifier de connaissances et d’une expérience suffisante. 

3. Secret professionnel

Le psychopraticien et son équipe éventuelle sont soumis au secret professionnel absolu concernant tout ce qui leur est confié dans l’exercice de leur profession. Cette même obligation s’applique dans le cadre de la supervision. 

Le Code de déontologie est un ensemble de règles qui définissent les devoirs et les obligations professionnels d’un psychopraticien. Il vise à protéger les intérêts des personnes qui font appel aux services d’un psychopraticien, ainsi qu’à garantir la qualité et l’intégrité de la profession.

Le Code de déontologie pour un psychopraticien s’applique à tous les psychopraticien exerçant en France, quel que soit leur domaine d’expertise. Il définit notamment les obligations suivantes :

Respect de la vie privée et de la confidentialité des personnes : un psychopraticien est tenu de respecter la vie privée et la confidentialité des personnes qu’il reçoit et de ne divulguer aucune information confidentielle à des tiers sans leur consentement.

Respect des droits de la personne : un psychopraticien est tenu de respecter les droits de la personne, notamment son droit à l’autodétermination et à la participation active à son propre processus de soins.

Maintien de la compétence professionnelle : un psychopraticien est tenu de maintenir sa compétence professionnelle en suivant des formations continues et en s’engageant dans une démarche de développement professionnel continu.

Respect de l’éthique professionnelle : un psychopraticien est tenu de respecter les règles éthiques de la profession et de ne pas se comporter de manière déloyale ou malhonnête envers ses collègues ou ses clients.

Le Code de déontologie pour un psychopraticien s’appuie sur les valeurs fondamentales de respect de la personne, de responsabilité professionnelle et de respect de l’éthique de la profession. Il vise à garantir que les psychopraticien exercent leur profession de manière responsable et à maintenir la confiance des personnes qui font appel à leurs services.

En outre je m’engage à respecter les normes éthiques suivantes :

• Confidentialité : Les psychopraticiens doivent respecter la confidentialité des informations personnelles et médicales de leurs patients. Ils ne doivent pas divulguer ces informations sans le consentement écrit du patient ou en cas de risque de danger pour le patient ou pour les autres.
• Respect de la dignité humaine : Les psychopraticiens doivent traiter tous les patients avec respect et dignité, en prenant en compte leurs besoins, leurs valeurs et leurs croyances.
• Non-discrimination : Les psychopraticiens ne doivent pas discriminer les patients sur la base de leur âge, de leur sexe, de leur orientation sexuelle, de leur ethnie, de leur religion ou de toute autre caractéristique protégée par la loi.
• Intégrité professionnelle : Les psychopraticiens doivent maintenir une attitude professionnelle à tout moment et éviter tout comportement inapproprié avec leurs patients.
• Responsabilité professionnelle : Les psychopraticiens sont tenus de se tenir informés des dernières avancées de la recherche et de l’évolution des normes de pratique pour assurer la qualité des soins.
• Résolution des conflits : Les psychopraticiens doivent être en mesure de gérer les conflits éthiques de manière professionnelle et respectueuse.
• Supervision : Les psychopraticiens doivent participer à la supervision continue pour maintenir et améliorer leur compétence professionnelle.

En respectant ce code de déontologie, les psychopraticiens peuvent s’assurer que leurs patients reçoivent des soins de qualité et que leur bien-être est protégé tout au long de la thérapie.